Retenue de Rophemel à Guenroc
Plouasne, 22830
Ce lac de barrage est situé à proximité des communes de Guitté, Plouasne et Guenroc. Bien dissimulé au fond de la vallée de la Rance, il existe peu d’accès mais cela lui offre un caractère sauvage. Ce barrage typique pour la pêche des carnassiers est très varié : falaises, lit de la rivière, bâtard d’eau, forêts immergées, plages sont d’excellents postes pour la perche, le brochet et le sandre. Chaque année il se fait de très belles pêches notamment l’hiver. La pêche du bord est limité car le relief est assez escarpé, la barque est donc fortement recommandée, Ce plan d’eau utilisé pour l’alimentation en eau de la ville de Rennes subit des variations de niveaux d’eau. Lorsque le niveau baisse très vite, on constate généralement une baisse d’activité alimentaire chez les carnassiers. Également très riche en poisson blanc, il est qualifié "d’aquarium" tant sa densité est exceptionnelle. Les amateurs de pêche au coup feront de belles bourriches notamment d’avril à septembre, les pêcheurs de carpes ne seront pas en reste puisque de très belles pièces les y attendent. En ce qui concerne la pêche de la carpe c’est un lac très intéressant avec de nombreuses structures immergées à prospecter (moulins, bloc rocheux, bâtard d’eau...) qui abritent des poissons de 15 à + 20Kg.
Gestion : AAPPMA de Caulnes, AAPPMA de Plouasne
Superficie : 80 ha
Profondeur/Niveau d'eau : 2 à 17 m
Coordonnées GPS : 48.3087, -2.0575
Sécurité des pêcheurs.euses liée aux barrages
La Rance est classée en réserve pour la sécurité des pêcheurs.euses sur 300 mètres en aval du barrage de Rophémel.
Réglementation
Peuplement piscicole
Carpe commune, Cyprinus carpio (Linnaeus, 1758)
Toute carpe capturée doit être imméditaement relâchée
Brochet, Esox lucius (Linnaeus, 1758)
Taille minimale de capture : 1ère catégorie 50 cm - 2ème catégorie : 60 cm
Sandre, Sander lucioperca (Linnaeus, 1758)
Taille minimale de capture : 50 cm
Cyanobactéries / Cyanotoxines
L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail précise que, pour limiter l’exposition des consommateurs aux cyanotoxines, il est nécessaire d’étêter et d’éviscérer les poissons avant de les consommer (ou avant de les congeler) et de ne pas consommer entiers les petits poissons d’eau douce (fritures). La prolifération de cyanobactéries à l'origine des cyanotoxines survient plus souvent en été et au début de l’automne, quand l’ensoleillement est important et les températures de l’eau sont supérieures à 20°C (Voir affichages communaux).
Dépositaire(s) carte de pêche
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